
Le 22 juin, les Mauritaniens élisaient le président de la République. En dépit de quelques irrégularités, la commission électorale nationale indépendante (Ceni) a relevé le défi de la diligence et de l'organisation technique.

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.