
Biram Dah Abeid est sans doute le dernier à pouvoir parler du massacre des militaires Halpularen par le régime de Ould Taya.

Une nouvelle affaire de drogue défraie la chronique depuis quelques jours. Même si les informations ne tombent, pour le moment, qu’au compte-gouttes, plus d’une dizaine de personnes seraient actuellement sous les verrous de la gendarmerie, le corps d’armée qui a fait tomber le réseau. Et l’enquête se poursuit.