
Jamais de mémoire de mauritanien, la tribu n’a été aussi forte. Ainsi, l’éradication de cette organisation rétrograde, dont la Mauritanie semble être l’un des rares bastions au monde, semble être un combat perdu d’avance.
C’est la question de la semaine : Après plus d’un an à la tête de la Primature, Ould Diay a-t-il réussi ou échoué ? A-t-il pu insuffler un sang nouveau à une institution qui en avait tant besoin ? Est-il parvenu à coordonner avec succès l’action d’un gouvernement dont il n’avait pas prise sur certains membres ?