
La Mauritanie a-t-elle été flouée par la société Dragui Transport (filiale du groupe français Pizzorno) qui assurait la collecte, le transport et l’enfouissement des déchets solides de la ville de Nouakchott, entre 2007 et 2014 ?

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.