C’est du moins ce qui ressort de la réunion des membres de la commission nationale de l’état civil, les autorités administratives et les élus du Gorgol, hier samedi, à Kaédi.
Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.




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