
Lorsqu’en 2008, le général Mohamed Ould Abdel Aziz et sa junte décident de faire tomber Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le premier président élu démocratiquement pour conserver leurs privilèges, le rebelle en chef avait brandi

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.