
Les associations de presse dénoncent une censure du gouvernement. Les journaux ne paraissent plus depuis bientôt un mois en Mauritanie. La raison officielle ne convainc pas. Les acteurs des médias disent être bâillonnés.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.