
M.E., quarante ans et marié, marche, une de ces dernières nuits, dans une ruelle sombre du quartier Poteau 16 d’Arafat. Il est interpellé par une jeune fille.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.