
Samedi 3 août dernier à l’aube, les passagers en partance de l’aéroport international de Nouakchott sont surpris par cette silhouette familière.
Après des rumeurs de plus en plus insistantes sur l’imminence d’un changement de gouvernement dont même le chef serait partant à coup sûr, la montagne a finalement accouché d’un léger remaniement. Quatre ministres ont été défénestrés et un cinquième a vu sa chute amortie par un tremplin à la présidence. Pourquoi quatre ?