
Le collectif des organisations de veuves et orphelins du passif humanitaire des années 1990/1991 en Mauritanie, a affirmé sa détermination à continuer la lutte pacifique pour obtenir l’abrogation de la loi d’amnistie de mai 1993,

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.