
Le dossier de la corruption, dans lequel sont impliqués
l'ancien président Ould Abdel Aziz, deux ex-premiers ministres, plusieurs ministres et des hauts fonctionnaires, bouge enfin.
Après des rumeurs de plus en plus insistantes sur l’imminence d’un changement de gouvernement dont même le chef serait partant à coup sûr, la montagne a finalement accouché d’un léger remaniement. Quatre ministres ont été défénestrés et un cinquième a vu sa chute amortie par un tremplin à la présidence. Pourquoi quatre ?