
Que ceux qui s’agitent à réclamer un troisième mandat pour Ould Abdel Aziz, l’appelant, en conséquence, à se dédire et à parjurer, se le disent !

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.