
Deux ans de détention et des conditions carcérales les plus éprouvantes n’ont pas altéré le mental des militants abolitionnistes, anciens pensionnaires de la prison de Bir Moghreïn.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.