
Pendant que les acteurs politiques et affiliés ont des yeux tournés vers le palais présidentiel et les oreilles collées à leurs transistors, pour ne pas rater la publication de la liste du premier gouvernement de l’ère Ghazwani,

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.