
Nous ne cessons d’attirer l’attention de l’opinion publique et des autorités sur le danger de la libre circulation des aliénés mentaux, débiles et autres perturbés du cerveau.

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.