
Contrairement à ce que pensent beaucoup de gens, les dernières opérations de vote de la présidentielle du 21 juin 2014 ont constitué une occasion de fraudes particulièrement massives, surtout dans les zones reculées du pays.

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.