Sneïba nous apprend, dans son humeur de la semaine, que « Mohamed ould Abdel Aziz […] a poursuivi la mise en place d’un état-civil fiable ». Poursuivi, peut-être ; mais il ne l’a toujours pas rattrapée.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.