Non pas, bien évidemment, que la publication des caricatures du Prophète ne fut pas condamnable mais le jugement relevait d’une Cour pénale, d’un débat citoyen où le droit des communautés se serait taillé place raisonnable, face à
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.