
Depuis une cinquantaine de jours, la ville d’Atar souffre d’une soif qui n’épargne quasiment aucun de ses quartiers. Tout Atar a soif. C’est la débandade. L’eau manque gravement.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.