A Tevragh Zeina, sur l’axe allant de l’hôtel Monotel à l’epicerie Chinguitti Banda, un parc, financé par une région française pour égayer le quartier et servir d’aire de jeu pour les enfants, est en train d’être squatté au vu et au su des riverains. Selon certaines sources, il aurait été cédé à un imam pour y édifier une mosquée et des boutiques. Alerté, le Hakem, qui n’est pas au courant de l’attribution du parc à un particulier, a ordonné l’arrêt des travaux. Mais les ouvriers profitent de la nuit pour casser l’ancienne clôture et commencer les constructions. Depuis ce lundi, ils ne se cachent plus. Le hakem a essayé de les faire déguerpir mais le wali lui a notifié qu’ils disposent d’une autorisation de construire. Jusqu’à continuera-t-on ce jeu du chat et de la souris ?
Après les ponts dits de l’Amitié, Taazour et El Haye Sakine, dont Nouakchott avait tant besoin pour désengorger une circulation devenue infernale, le président de la République a inauguré la semaine dernière plusieurs infrastructures, notamment la deuxième phase du projet Aftout ech-Charghi, une école dédiée aux métiers des mine