La Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel (HAPA), en Mauritanie, a organisé un colloque sous le thème « les défis de la transformation numérique pour l’économie des médias audiovisuels », animé par Mme Latifa Akharbach, présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) du Maroc, et présidente du Réseau des Instances Africaines de Régulation de la Communication (RIARC)
mardi, dans un réceptif hôtelier de Nouakchott.
Une rencontre en marge de laquelle le président de la Haute Autorité de la Presse et de l’Audiovisuel (HAPA) en Mauritanie, Houssein ould Medou, et la présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA) au Maroc, Mme Latifa Akhbarch, ont signé une convention rappelant les enjeux liés à la régulation autonome des médias, la consolidation de la culture et de la pratique démocratique et plusieurs thématiques pour un échange d’expériences, notamment dans le domaine de la promotion des droits humains.
Des aspects dont la gestion dans le respect des règles d’éthique et de déontologie, garantit la bonne information du public.
La convention trace la voie visant à améliorer les procédures et les outils de la régulation «monitoring, suivi des programmes, veille professionnelle, stratégie d’adaptation à un nouvel environnement numérique.
Les Mauritaniens iront donc aux urnes le 29 Juin pour réélire le président Ghazwani. « Pourquoi lui et pas un autre ? », serait-on tenté de se demander. Tout simplement parce que c’est une élection sans enjeu. Il n’existe, à ce jour, aucun candidat capable de lui porter contradiction.