Voici presqu’un mois que le confrère Claude K nous a quitté. Subitement. Presque sur la pointe des pieds. Jusqu’à la mort, Claude K a continué à nous apprendre d’aussi grandes valeurs comme le courage, l’humilité et la discrétion. C’est incontestablement un grand homme qui a tiré sa révérence. C’est incontestablement une immense perte pour l’espace médiatique mauritanien. Le portail de Claude K (permettez-moi de m’exprimer ainsi) a considérablement contribué à la naissance d’une grande opinion nationale, d’une part et a permis de faire connaître la Mauritanie aux quatre coins du monde, d’autre part. En cela tout le mérite revient encore à l’illustre disparu. Pourtant, je ne connais l’homme que virtuellement. Quelques échanges à travers le Net m’ont permis de comprendre que Claude K était respectable, adorable et avenant. Ce ne sont pas là les louanges du Mort. Loin s’en faut. D’ailleurs si j’ai mis tout ce temps avant d’exprimer cet hommage si mérité c’est que j’ai voulu que l’émotion et l’affliction passent et n’interfèrent pas dans mes ressentiments à l’égard d’un si grand homme de la trempe du regretté Claude K. Tous les mots du monde ne suffiront point à exprimer tout mon respect à ce cher collègue promptement disparu. C’est pourquoi je ne voudrais pas être long. J’adresse toutes mes condoléances à tous les proches de Claude K, particulièrement à son épouse Rella Bâ en priant le Tout Puissant et Miséricordieux de le l’entourer de toute sa miséricorde et de le plonger dans les fonds de son Paradis. J’exhorte mes confrères de Cridem de continuer le gigantesque travail de professionnels qu’ils ont toujours su bien faire en ayant toujours en tête que le devoir de tous les Mauritaniens est de respecter la mémoire de cet homme qui a aimé et respecté notre pays en choisissant volontairement de s’y installer et de le servir loyalement… Jusqu’à la mort. Sneiba El Kory, journaliste au Calame.
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.