Tout ce qui atteint son terme finit. Adage arabe, paraît-il. Tellement simple. Tellement logique. Tellement évident. Ben oui : quand on arrive à la fin, on finit. Normal.
Après les nom, prénom et date de naissance, c’est le lieu de celle-ci qui situe administrativement tout individu. Sa nationalité dépend, elle, ordinairement de celle de son père.
« Impossible de faire une omelette sans casser des œufs », dit le vieux dicton français. C’est tellement simple, tellement évident, tellement comme ça que c’est ça.
[…]L’entrée à la PREFIMEDIM signifie s’impliquer dans un de ses six secteurs d’activité : production-récoltes, commercialisation, recherche, biodiversité, formations, information.
Ainsi parlait Zarathoustra. Ainsi a parlé un certain ex-Président. Devenu un homme ordinaire. Alors qu’il était un véritable superman. Un homme extraordinaire. Comme il l’a dit lui-même : « personne ne pouvait parler ».
[…] En plusieurs cas, le dialogue entre l’État et la Société civile locale est déjà largement en cours, parfois depuis des années, grâce au travail d’ONG nationales.
Des indépendances à nos jours, la Mauritanie a eu une bonne poignée de Présidents dont aucun n’est parti de son plein gré d’un pouvoir « d’une certaine saveur », comme disait l’un d’eux.