Vous le savez : à quelque chose malheur est bon. Ou pour le dire autrement : le malheur des uns fait le bonheur des autres. Ou encore : qui n’a pas réussi sa vie déclare arrivée la fin du monde.
La police convoque l’ex-Président. Elle le relaxe. La police convoque l’homme d’affaires X… et le relaxe de même. La police convoque l’ex-ministre Y… et le relaxe itou. C’est entré par ici, c’est ressorti par là.
On a vu précédemment sur quelles bases, valorisant très concrètement la territorialité de la Nation dans l’organisation du voisinage de chacun, pourrait se construire une citoyenneté en actes ouverte à tous… Une telle appr
Bon, il faut dire que sans être ni de nous ni d’eux, il ya quand même quelque chose : si l’on regarde de près, de tout près, on va croire qu’Octobre passé n’est pas comme Octobre présent.
Tout ce qui atteint son terme finit. Adage arabe, paraît-il. Tellement simple. Tellement logique. Tellement évident. Ben oui : quand on arrive à la fin, on finit. Normal.
Après les nom, prénom et date de naissance, c’est le lieu de celle-ci qui situe administrativement tout individu. Sa nationalité dépend, elle, ordinairement de celle de son père.
« Impossible de faire une omelette sans casser des œufs », dit le vieux dicton français. C’est tellement simple, tellement évident, tellement comme ça que c’est ça.