« La solidarité est l’éminence du rentable », concluais-je en mon précédent article. Une telle proposition ne se pose pas qu’au sommet du profit : elle en est également le socle et le fil conducteur ; autrement dit : l’éthique.
Nous sommes un monde qui aime les futilités. Ce n’est pas que je n’aime pas les symboles. Qui d’ailleurs de ma génération n’éprouve pas un peu d’appréhension quand il entend parler de symbole ?
J’ai lu avec beaucoup de plaisir deux beaux textes évoquant des enfances en Mauritanie. Le premier du doyen Bezeïd, intitulé « Mederdra de mon enfance » et l’autre de mon cher collègue Mohamed ould Ahmed Meidah.
Ce n’est pas seulement en volonté de préserver sa capacité de bénéfice, lors de la vente de son bien, qu’un capitaliste investit dans l’amortissement (1) de celui-ci.
Eywe, nous revoilà revenus ! On dit qu’après la pluie vient le beau temps. Moi, je dis qu’après la fête vient la déche ! En fait et si vous voulez la vérité, je n’ai pas envie de parler de Macron.