Le président Mohamed Ould Abdel Aziz a annoncé une réforme constitutionnelle visant à supprimer le sénat et à instaurer des conseils régionaux, mardi au cours d’un meeting populaire dans la ville de Néma.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?