23h 20, mardi soir à l’aéroport Oum Tounsy de Nouakchott, soit 15 minutes avant l’heure prévue, l’avion de la Royal Air Maroc s’immobilise sur la piste.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?