Le Sénat a donc rejeté la proposition de loi tendant à modifier la constitution. Pour beaucoup d’observateurs, il s’agit d’un séisme politique.
Les Mauritaniens se rendront aux urnes le 29 Juin prochain pour (ré)élire leur président de la République. Une élection sans enjeu, serait-on tenté de dire, tant le Président sortant part largement favori.