Le verdict de la Cour d’appel de Nouadhibou est tombé, jeudi dernier : relaxe d’ Ould M’khaitir, après l’avoir condamné à deux ans fermes, alors qu’il en a passé plus de trois en prison.
Comment ne pas faire, d’une réélection apparemment tranquille, les prémices d’une chute aussi brutale que désastreuse ?