
L’Union Pour la République, considéré comme le parti du pouvoir, connaît depuis quelques temps des frictions que ses responsables essaient, sans y parvenir, à faire taire.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.