
Le secrétaire général de la Confédération Libre des Travailleurs de Mauritanie (CLTM), Samory ould Bèye se plaint et dénonce les obstacles que le pouvoir dresse sur son chemin.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.