Je ne suis pas homme à lâcher qui m’a soutenu. Encore moins à tenter de le poignarder dans le dos. Je laisse cette félonie à d’autres assez galonnés pour se croire autorisés à cracher sur ce qui les faisait homme.
Ça y est ! Ould Djay, le nouveau PM, a sacrifié au rituel : la lecture d’une déclaration de politique générale de près d’une quarantaine de pages devant les députés.