Des sites électroniques mauritaniens se sont fait l’écho d’une «Note d’alerte» rédigée par un confetti d’organisations locales d’extrême gauche dont le seul dénominateur commun est la haine viscérale envers l’une des composantes
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.