Il y a la visite ou la visitation. II y a les tribus. Il y a les élections pour désigner le président de tous les écrivains et poètes de Mauritanie. Ça bouge. Mais il y a la complaisance qui frise l’hypocrisie.
Il y a quelques jours, le quotidien marocain Al Akhbar a rapporté un fait divers très particulier. Deux fonctionnaires marocains (un homme et une femme), employés dans une administration publique du célèbre quartier Agdal de Rabat, sont tombés dans les filets de la police grâce à un ressortissant mauritanien.