
J'ai rarement vu une telle psychose collective, une telle peur, une telle angoisse, que celle provoquée par la FVR. Non pas que les Nous Z'Autres la découvrions : elle et nous c'est une vieille histoire à feuilleton.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.