
Je l’ai connu quand il était stagiaire à l’ENI (Ecole National des Instituteurs) où on le confondait souvent avec Ly Djibril Mame.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.