
L’appel récent du roi du Maroc en faveur d’une «solution consensuelle, sans vainqueur ni vaincu » marque une inflexion significative dans le discours officiel.
On ne le dira jamais assez. La lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion et le détournement des deniers publics est un combat de longue haleine. Il ne suffit pas de la proclamer mais il faut la mettre en œuvre par des mesures fortes. Radicales, s’il le faut.