
Trente-trois organisations de défense des droits humains, dans un appel conjoint, demandent aux autorités mauritaniennes de "libérer immédiatement et sans condition" les trois défenseurs de droits humains anti-esclavag

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.