
D'un pays du million de poètes, nous sommes devenus un peuple du million de comédiens. Après le règne des farfelus, voilà celui des forfaitures. Un peuple dont les faiseurs d'opinion sont ceux qui sont. Suivez mon regard.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.