
Certains quartiers de la ville de Kaédi ont connu de graves inondations, il y a quelques jours. Des maisons ont été inondées, des rues et ruelles transformées en étangs, des récoltes et autres provisions perdues.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.