Le ministre mauritanien de la pêche et l’économie maritime, Nany Ould Chrough, a défendu la pertinence du choix de la société chinoise « Poly Hondong » comme partenaire dans un projet de développement et de transformation des activités de pêche à Nouadhibou (465 km au Nord de Nouakchott), samedi soir à travers une réponse à la question orale d’un sénateur.
« Le contrat passé avec cet investisseur étranger a été conclu dans des conditions transparentes. Ainsi, l’entreprise a investi 105 millions de dollars us, soit 5 millions de dollars us de plus que son engagement stipulé dans le cahier des charges définissant les obligations contractuelles.
Quant aux captures, qui concernent des espèces de poissons non pêchées par les mauritaniens, elles s’élèvent à 25.000 tonnes/an, soit seulement 17% de la quantité globale prévue par les causes contractuelles (100.000 tonnes/an) ».
Au cours des dernières années, l’accord défendu par le ministre mauritanien de la pêche et de l’économie maritime a été fortement dénoncé comme « bradage » des ressources halieutiques nationales par divers milieux (une frange de spécialistes, l’opposition et une partie de la presse).
Elle était jeune, dans la fleur de l’âge. Issue d’un milieu conservateur, étudiante en deuxième d’université, elle s’apprêtait à convoler en justes noces.