L’auberge Espoir d’Aleg a abrité les 18 et 19 Janvier 2018, une rencontre d’échanges qui a regroupé les trente-deux ONG partenaires du Programme AMCC (Alliance Mondiale face aux Changements Climatiques), issues de l’Assaba et du Brakna. Organisé par le PNUD (Programme des Nations-Unies pour le Développement) en partenariat avec le Ministère de l’Environnement et du développement durable, sur financement de l’UE. La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du coordinateur du GEF-SGP Amadou Bâ, entouré de Limam ould Abdawe, chef de l’unité « développement durable », Mohamed Lafdhal ould Chah, Directeur national du projet et chargé de mission au MEDD, et Dia Ousmane, chargé du Programme « Environnement et changement climatique ».
Selon Amadou Bâ, ce projet, qui a démarré en 2014 et prendra fin en Juin 2018, a notamment organisé des sessions de formations, dans les deux wilayas cibles. Quant à Limam ould Abdawe, il a rappelé que le programme est sur le point de se terminer et invité, en conséquence, les bénéficiaires à travailler main dans la main, pour aboutir à des résultats satisfaisants. Il a en outre mis l’accent sur « l’importance de la communication, dans la visibilité des actions ». Prenant la parole à son tour, le Directeur national du projet a demandé aux partenaires d’impliquer davantage les services de la Délégation Régionale de l’Environnement et du développement durable.
Durant les deux jours de l’atelier, les responsables des ONG partenaires ont présenté des communications relatives aux activités menées sur le terrain, dans leurs différents domaines d’intervention. On a particulièrement noté, le second jour, celle relative à l’habitat, présentée par Oumar Wélé, chef de l’entreprise HABIDEM (Habitat et Développement en Mauritanie) qui promeut l’utilisation de matériels locaux dans la construction.
Brahim ould Ely Salem
Cp/Brakna
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.