La CLTM communique, le gouvernement mauritanien qui est l’objet d’interpellation par le BIT, suite à des plaintes introduites par la CLTM, relatives aux pratiques de l’esclavage en Mauritanie, du travail domestique et aux violations des libertés syndicales, n’a pas pu trouver les moyens de se défendre que d’exclure Monsieur SAMORY OULD BEYE de la délégation pour la conférence de Genève.
Cette même exclusion a été faite l’année dernière pour les mêmes motifs, alors que c’est aujourd’hui que le cas de la Mauritanie est examiné devant la commission d’application des normes du BIT en l’absence de notre délégation.
La CLTM dénonce cette politique de discrimination et d’arbitraire qu’exerce le gouvernement en guise de représailles contre les organisations libres et indépendantes en vue de les abdiqués.
Il s’agit là de manquement grave au droit du libre exercice du droit syndical dans notre pays.
La CLTM dénonce vivement cette politique arbitraire et abusive, devenue pratique courante à laquelle le gouvernement fait recours à chaque fois.
Pour la CLTM
Le service de communication
Faites un petit tour à Nouakchott : allez de la plage des pêcheurs au Port de l’Amitié ou de cette infrastructure vers le carrefour dit Bamako ; partez d’Atak El Kheir 2 en direction de l’Est ; promenez-vous en divers quartiers de la capitale… Rassurez-vous, il ne s’agit pas de villégiature !