L’Association pour le Développement Intégré des Communautés Rurales (ADICOR) a organisé à Aioun le dimanche 24 avril en collaboration avec les délégations régionales de la jeunesse et de la culture un atelier de formation de deux jours sur le plaidoyer pour une meilleure implication de la jeunesse dans la promotion du développement local
Cette formation s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre du projet de contribution de la jeunesse au service du développement local financé par le Service de Coopération et d’Action Culturelle (SCAC) de l’Ambassade de France dans le cadre de l’initiative FAJR (aurore) en français.
Elle cible les jeunes organisés au sein des associations sportives et culturelles au niveau de la Wilaya du Hodh Elgharbi. Deux jours durant, les participants suivront des présentations et exposés sur la définition du concept, l’identification des problèmes, l’analyse du contexte, la détermination des cibles du plaidoyer et ses objectifs ou encore les outils de communication.
L’ouverture des travaux de cet atelier de formation s’est déroulée sous la supervision des autorités administratives et communales et en présence du délégué régional de la jeunesse et des sports et celui de la culture et de l’artisanat. Dans le mot qu’il a prononcé pour l’occasion, le représentant de l’autorité s’est réjoui de la mise en place à Aioun d’un espace pour jeunes dans le cadre du projet FAJR soulignant qu’il porte beaucoup d’espoir sur son apport. Mieux, ajoute cette voix autorisée, il est destiné à ouvrir de nouvelles et réelles perspectives en leur faire évitant toutes les formes de dérives aux conséquences fatales pour l’ensemble de la société.
Prenant la parole, le président d’ADICOR a remercié les officiels et les participants et a promis de ne ménager aucun effort pour l’atteinte des résultats escomptés du projet. Il s’est engagé pour la mise à contribution de toute l’équipe et de sa logistique pour assurer la réussite du projet afin que son impact puisse être ressenti favorablement dans les milieux de la jeunesse à travers le renforcement de leurs capacités.
Moustapha Bechir