
Après avoir épuisé ses contre-vérités déversées sur quelques étapes de l'histoire glorieuse du MND, Cheddad revient honteusement à sa dévorante obsession à produire de nouvelles calomnies contre notre parti et sa direction. Dans Le Calame numéro 1458 du 10 Décembre 2025, faisant fi du respect des lecteurs de ce journal, il écrit, sans vergogne : « la désignation presque clandestine de Mohamed Ould Maouloud à la tête de ce parti ne justifie pas tout ». Quelle imposture ! Les faits sont là, bien têtus, toute la république est témoin : en août 1998, le président Mohamed Ould Maouloud, premier responsable du MND, de sa reconstruction à sa dissolution (1976-1998), a été élu à l'unanimité par un congrès du nouveau parti, appelé par la suite UFP, en raison de sa fidélité intransigeante aux principes et aux idéaux du mouvement et en reconnaissance de son parcours de dirigeant qui se distingue par un esprit élevé de sacrifice, par la clairvoyance de son engagement idéologique et politique, par une modestie authentique et une intégrité morale sans faille. L'UFP étant transparente, tous pourraient accéder aux archives à son siège et aussi recueillir, en toute liberté, les témoignages des principaux acteurs de ce congrès.
Quant à l'investiture du président Mohamed Ould Maouloud à l'élection présidentielle de 2007, elle a été faite également en toute transparence. Et encore dans un congrès, début janvier 2007, et ce conformément aux textes du parti. Elle lui a été imposée par des congressistes, dans un esprit chaleureux et confiant.
Aux antipodes des élucubrations hallucinées de M. Cheddad, tous les faits et propos des participants, invités nationaux et étrangers compris, confirment ces réalités historiques et soulignent la maladie chronique qui affecte les écrits du petit falsificateur invétéré qui a repris à Goebbels sa devise : « mentir, mentir, il en restera toujours quelque chose.»
Dans le même esprit il poursuit : « le parti connaît depuis quelques temps une curieuse affluence en provenance d'un certain milieu à dominance tribale. Il se révélera que cette affluence serait initiée par des éléments, cadres chauvins bien connus, originaires du même milieu ». Quelle perfidie et quelle fausse lecture de la politique d'ouverture adoptée par le deuxième congrès de notre parti en avril 2005, et favorisée par les conséquences du renversement du pouvoir de Ould Taya !
Insinuations malveillantes
Rafraîchissons-lui donc la mémoire... En effet, dans le cadre de sa nouvelle stratégie de lutte démocratique pacifique, en adéquation avec le processus électoral dans lequel le pays s'était engagé, l'UFP a fait appel à tous les Mauritaniens, sans distinction, pour intégrer ses rangs dans le respect de ses textes fondamentaux pour en faire un véritable parti de masse. Cette nouvelle approche a déclenché une dynamique et une affluence sans précédent vers notre parti, se traduisant par de nouvelles adhésions dans plusieurs Wilayas du pays (Adrar, Gorgol, Brakna, Guidimaka, Tagant, etc.). Naturellement, M. Cheddad ne pouvait avoir de compréhension de ces faits que par le petit bout de sa lorgnette étroitement tribaliste.
Aveuglé par son esprit revanchard et de règlement de comptes pour le compte d'autrui, Cheddad n'hésite donc pas à faire constamment des insinuations malveillantes. Comme quand il écrit, sans vergogne, des lignes truffées de mensonges et de sous-entendus sur l'organisation de la campagne du candidat du parti à l'élection présidentielle de 2007. Parlant malicieusement du candidat du parti, à travers son staff, il écrit sans la moindre preuve : « il tient à ce que le lieu d'hébergement de la délégation "présidentielle" soit toujours chez une famille de leurs parents, souvent des riches commerçants locaux inévitablement de l'autre bord politique. Il continue à filtrer les supposés kadihines orthodoxes ».
Contrairement à ces balivernes, c'est au directeur national de campagne, Ahmed Ould Yedaly ou aux directeurs locaux de campagne que revenaient les détails de l'organisation des accueils, et non au candidat accaparé par la quête de soutiens bien sûr en dehors de son milieu habituel, en dehors de son parti, en dehors de sa famille ! Cette évidence de bon sens suffit pour démentir les allégations malveillantes de M. Chaddad. Dans une démarche vaine de nuire à l'unité de notre parti, il s'autorise à distinguer les membres qu'il qualifie de "kadihines orthodoxes" des nouvelles recrues, suspectées de "chauvinisme" et de "tribalisme", d'étiqueter certains de pro X et d'autres de pro Y... Que le Don Quichotte de la falsification de l'histoire sache que son effort est vain et même ridicule. Que les militants de l'UFP ont toujours mis en échec de telles tentatives de division provenant des pouvoirs successifs durant les dernières décennies.
En définitive et encore une fois, nous rappelons à notre expert de la falsification de l'histoire :
- qu'il doit respecter la mémoire de ceux qui ne sont plus parmi nous, et ne pas les mêler à ses élucubrations ;
- qu'il n'est pas obligé d'aimer notre parti et ses dirigeants mais qu'il a l'obligation de cesser ses calomnies et son acharnement quasiment maladif à falsifier notre histoire pour le compte d'autrui.
Nouakchott le 13 décembre 2025
Commission de Communication de l'UFP




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