Suite à la condamnation à deux ans d’emprisonnement ferme des Messieurs Djiby Sow, Président de l’association Kawtal Yellitaare, Biram Dah Ould Abeid, Brahim Ould Bilal, respectivement Président et Vice-président de l’Initiative pour la résurrection du mouvement abolitionniste (coorganisateurs de la caravane contre le racisme et l’esclavage fonciers), les Forces de libération africaines de Mauritanie :
- condamnent vigoureusement l’arbitraire et le racisme qui ont entouré l'arrestation et le procès des caravaniers pacifistes par une justice à la solde des racistes et des esclavagistes ;
- rejettent le délibéré du procureur de Rosso qui a envoyé les détenus d’opinion en prison sur la base d’un dossier vide ;
- exhortent la communauté internationale à contraindre le Système Beydane et son représentant actuel, le régime de Mohamed Ould Abdel Aziz, au respect de ses engagements internationaux pour la sauvegarde de la dignité et de l'intégrité de la vie humaine ;
- et enfin, les Forces de libération africaines de Mauritanie appellent au sursaut des forces progressistes mauritaniennes pour la destruction de ce système raciste, esclavagiste et liberticide.
Fait à Paris, le 16 janvier 2015
Département communication
Forces de libération africaines de Mauritanie (F.l.a.m).
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.