Une foule immense évaluée à plusieurs milliers de personnes, était présente à la prière mortuaire qui a précédé l’inhumation de feu Ahmed Hamza, homme d’affaires, ancien président de la Communauté Urbaine de Nouakchott (CUN), qui s’est déroulée ce ce mardi 20 décembre dans l’après-midi à la mosquée Ben Abass.
Les populations de Nouakchott se sont massivement déplacées, de sorte que les derniers venus n’ont pas eu de place dans l’enceinte de l’office religieux, alors que les premiers arrivés ont eu du mal à sortir après la prière.
Une présence massive qui s’explique par la dimension de l’homme, humainement et culturellement, issu de toutes les communautés du pays et attaché à l’intégration sous-régionale, du fait de ses attaches avec le Sénégal et le Maroc.
Il repose désormais au cimetière du Ksar.
Que cette terre de Mauritanie, qu’il aimait plus que tout, lui soit légère.
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.