Au cours d’une audience qu’il a accordée, le mercredi 26 octobre au syndicat des journalistes mauritaniens, le ministre la culture, des Sports et des Relations avec le Parlement, M. Mohamed Ould Soueidatt, a indiqué que la satisfaction des 18 doléances les plus importantes de la plateforme des journalistes mauritaniens, sera une étape importante vers la promotion du secteur.
Conduite par son président Ahmed Taleb Ould Maaloum, la délégation du SJM venait présenter sa plateforme revendicative au ministère de sa tutelle, arrivé à la tête de ce département, lors du dernier remaniement ministériel et dont il fut un secrétaire général. C’est donc un interlocuteur averti que le syndicat a rencontré.
Au cour de cette audience, le président du SJM a exprimé ses remerciements au ministre chez qui il a trouvé une oreille attentive aux préoccupations de la presse en général. Ould Maaloum à exprimé au ministre la disposition du SJM à accompagner la volonté politique affichée par les autorites pour ameliorer les conditions de vie et de travail de la presse en général.
Il faut rappeler que le Ministère travaille sur une réforme du secteur des médias. C'est d'ailleurs dans ce cadre qu’une commission nationale avait été mise en place par le président de la République ; elle a remis son rapport depuis plusieurs mois déjà. Le SJM dit attendre la mise en œuvre rapide de ses principales recommandations. Le travail de la commission était le fruit d’une large concertations des acteurs du secteur des médias publics et privés.
Signalons enfin qu'au lendemain de sa rencontre avec le ministre, le président du SJM a reçu en audience l'ambassadeur de Chine en Mauritanie. Une occasion pour explorer les voies et moyens d'établir une coopération dans le domaine de la presse. Nous y reviendrons.
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.