La MAURISBANK, dernière née des institutions à vocation de financement islamique en Mauritanie, a perdu son agrément.
Ce retrait est la principale décision du Conseil de Politique Monétaire (CPM) de la Banque Centrale de Mauritanie à l’issue d’une réunion tenue le mercredi 31 décembre et dont les résultats ont été rendus publics jeudi.
Pour justifier cette sanction, le CPM avance plusieurs arguments: « une cessation de paiement illustrée par son absence de la compense depuis le 31 mars 2014 et une incapacité à faire face à ses obligations vis-à-vis des clients.
Une mauvaise qualité du portefeuille et l’insuffisance des provisions.
Des fonds propres négatifs et le non respect de l’obligation relative au capital minimum, des normes de solvabilité, d’équilibre entre les fonds propres nets et les actifs immobiliers, de liquidités et de position de change, en plus des manipulations et des inexactitudes comptables »….
Ces manquements graves hypothèquent définitivement la continuité d’exploitation de la MAURISBANK, estime le Conseil de Politique Monétaire.
Dans la foulée de ce retrait d’agrément, Ahmed Ould Mogueya, principal actionnaire de la banque, a été arrêté et placé en garde à vue dans les locaux de la police chargée des investigations en matière d’infractions à caractère économique, selon une source bien informée.
La Sionie ne cessait de déclarer qu’elle ne quitterait l’enclave de Gaza qu’après y avoir construit des colonies et éradiquer le Hamas : elle va s’en retirer dans les quarante-deux prochains jours, la queue entre les pattes, humiliée, discréditée, sans atteindre un seul objectif d’une guerre qu’elle voulait éclair, et à des cond