Les criquets envoient un explorateur superviser une terre qui aurait prospéré. L’explorateur, il n’y a qu’un seul, survole la zone, s’installe, broute, reprend des forces, écoute et interprète les son. L’hivernage est beau et les populations heureuses et insouciantes. L’explorateur rend compte.
Une deuxième mission d’exploration est alors organisée. Une brigade se rend sur le site, observe en se gavant. Les habitants ont bien agité quelques chiffons, leurs enfants ont tapé sur des casseroles, mais rien de bien inquiétant pour les criquets
L’essaim décide de l’invasion. En quelques heures, les criquets font main basse sur les cultures et toute la végétation, même l’argile des murs n’est pas épargnée.
Les humains tapent sur des objets pour faire fuir les criquets, allument quelques feuilles pour les effrayer. Les criquets s’envolent, repus. Les humains peu préparés se font même une raison. Ce que les criquets détruisent, ils le rendent au centuple, disent-ils.
La stratégie des criquets est invariable, des explorateurs repèrent une terre prospère et l’envahissent, s’engraissent et retournent vers leur nid, un endroit où les hommes ont capitulé ou du moins accepté l’inéluctable.
Ainsi font les juifs, ils se sont gavé sous l’empire romain, l’empire musulman, l’Europe, et maintenant les Etats-Unis. Ils ont crée un nid en asservissant ceux qui l’habitaient et maintenant, ils le consolident en imposant à leurs voisins la reconnaissance de leur bon droit. Et à qui ouvrira le plus rapidement son ambassade en Israël et sera le plus servile.